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(« Depuis qu’je suis né, J’ai jamais tant morflé, Tout m’était destiné, Un rêve bien éclairé ! Aujourd’hui, tout a changé, Ma France est devenue la pitié ») Quand j’étais qu’un gamin, On m’a tracé un chemin, L’école, la vie, les valeurs, Etaient potions magiques, pour le meilleur ! J’pouvais penser à mon futur, Mes parents travaillaient dur, Ils savaient toujours me guider, Ils m’ont appris à respecter ! Tellement de bons souvenirs, Tellement d’espoir en l’avenir, Pierre après pierre ils m’ont construit, Dans les valeurs et le droit, ils m’ont bâti ! (Mais aujourd’hui ??? Nous en sommes où ???) Ils veulent diriger et guider nos vies, Ils veulent les terres et le profit, Le pouvoir et l’argent, sans aucun mérite, La reconnaissance, juste pour cette élite ! Le présent est là, les ambitions se barrent, Tout a basculé, nous sommes dans le noir, Hier est aujourd’hui bien loin, Le futur incertain, Merci à tous ces crétins ! Celui qui oublie qu’on a vécu, ce qu’était notre France, notre existence passée, Nos valeurs bien ancrées, Trop tristement bafouées, Nos racines éliminées par cette existence du pouvoir, Racines rayées de nos pensées, c’est ce qu’ils veulent, le trou noir ! Les vieux disent -c'était mieux avant-, on a été trahis, les jeunes pleurent, plus aucun espoir, La France croûle sous les dettes, une défaillance sans fin, On regarde les infos, trop de cris dans la nuit ! Comment rester debout, quand le monde se déchire, La France est en éclats, sous le poids de ses choix, Les religions s’imposent, nos frontières saignent ! Et la politique danse, dans un ballet de mensonges ! Si j’ai écrit cette chanson, C’est pas pour me rebeller, J’sais même plus si c’est autorisé, De pleurer de ses opinions ! La liberté d’expression, supprimée peu à peu, Les médias contrôlés, les directives coulent à flot, On va devoir se taire, entendre ce qu’on nous dit de penser, Pour que le silence règne, que les conneries coulent à flot ! Les médias crissent, les fake news envahissent l'esprit, On choisit des numéros de cirque, dans les urnes du secours, Bien que la terre tremble, on se laisse aveuglé par des messies, Croyant sauver la France ou le monde, tout comme un recours ! La France est en éclat, sous le poids de ses choix, Des cœurs, des vies brisés, des rêves qui s'enfuient, Les querelles prennent le pas, Ma France se meurt, Et la politique danse, dans un ballet de mensonges ! Celui qui oublie qu’on a vécu, ce qu’était notre France, notre existence passée, Nos valeurs bien ancrées, Trop tristement bafouées, Nos racines éliminées par cette existence du pouvoir, Racines rayées de nos pensées, c’est ce qu’ils veulent, le trou noir ! (Celui qui veut la guerre et des pays sans barrières, Surtout bien protégé par son armée éphémère, Une bataille, une guérilla, au sein même de ses propres terres, Faudrait réviser sa pensée, avant de nous recruter !)